Tout a commencé par une rencontre.... Puis une histoire à partager ... Absolument !
Je raconte l’histoire d’une adoption idyllique qui, pour certains, tourne au cauchemar, sans chercher à la promouvoir mais pour rendre hommage à ces Polynésiens qui confient leurs enfants à d’autres pour les élever.
Dépeindre la souffrance de ceux qui ne peuvent enfanter et de ceux qui ne peuvent garder leurs enfants.
Deux peines qui, sachant s’écouter se consolent mutuellement.
Deux cultures qui s’entrechoquent, deux familles qui se lient autour d'un enfant à aimer.
A la maison, nous sommes cinq. Papa, maman, et trois petits koalas. Nos enfants du bout du monde. Nos enfants.
L'auteur a mis sa vie professionnelle entre parenthèses pour se consacrer entièrement à ses trois enfants. Tellement, qu'elle se devait d'écrire leur histoire. Pour eux d'abord, pour qu'ils sachent tout l'amour qui les a entourés depuis le début, avant leur adoption. Puis, au fil de l'écriture, elle a voulu témoigner, tenter de gommer les préjugés sur l'adoption, expliquer enfin l'adoption à la polynésienne, l'adoption fa'a'amu.
Dans « Fa'a'amu, mes enfants adoptés », Véronique Bachelier-Vidar raconte l'histoire de l'adoption de ses deux enfants en Polynésie, Alex et Clément.
Un récit poignant, où l'on passe du rire aux larmes.
L'adoption en Polynésie présente la particularité de prendre l'enfant en charge dès sa naissance. Les moments que l'auteur a vécu à l'autre bout du monde avec les parents biologiques, puis avec le bébé, ont été si intenses et si bouleversants que le besoin de raconter cette belle aventure s'est imposée à elle, sans doute comme une délivrance mais aussi comme un partage avec les lecteurs. Avant toute chose, l'auteur a ressenti l'irrésistible envie de raconter à son fils l' « épopée » du début de sa vie, pour qu'il n'ignore rien de ses origines et de son histoire.
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